Chers amis, Chers Compagnons,
Le 2 février 2018, nous étions une poignée de personnes, d’horizons différents, déterminées à ne pas céder à ce « nouveau monde » proposé par Emmanuel Macron, qui laissait présager du pire.
Notre volonté de ne pas laisser disparaître les valeurs gaulliennes, notre croyance en l’absolue nécessité d’un large mouvement populaire dans le paysage politique français, notre attachement au triptyque État-Nation-République, ont su rassembler chaque jour davantage de personnes pour qui les mots valeurs, engagement et devoir ont encore du sens.
Sans moyens, mais avec le courage de ceux pour qui les idées priment sur tout, avec la bonne volonté et les talents de chacun, et sous la caution morale d’Henri Guaino qui acceptait la présidence d’honneur que nous lui proposions, nous avons su faire partager notre vision et rassembler les Français.
Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous annoncer que le cap des 6 000 Compagnons vient d’être franchi.
Tout cela n’aurait pas été possible sans la contribution de chacun d’entre vous, sans vos soutiens et vos encouragement inlassables à persévérer, et il faut le dire sans vos appels à l’aide qui nous ont fait prendre conscience de la responsabilité qui pesait sur nos épaules.
Parce que nous privilégions le rassemblement de tous les Français dans un projet commun, plutôt que leur division, il nous faut plus que jamais continuer à faire partager nos idées et notre volonté à créer ce large mouvement d’inspiration gaullienne qu’attendent nos compatriotes.
Cette première étape franchie, de nombreux combats nous attendent afin de préserver la France, Notre France, telle que nous la voulons : grande, fière, ambitieuse, juste et indépendante.
Nous avons besoin de l’aide de vous tous, de votre participation active à la recherche de nouveaux Compagnons loyaux, engagés et patriotes.
De nouvelles échéances arrivent, référendaires, électorales. Notre France y prendra toute sa part et ses responsabilités, je m’y engage.
Martial Sciolla
Président
Soyons fermes, purs et fidèles ; au bout du chemin de nos peines, il y a la plus grande gloire, celle des hommes qui n’ont pas cédé.